Je me revois, il y a deux ans jour pour jour, complètement perdue quand un ami me montrait les démarches pour la création de mon autoentreprise et m’assommait de termes comme « Acre », « BNC » et « CFE ». J’avais vingt-trois ans, j’étais pleine d’ambition et j’avais des projets plein la tête.
L’anniversaire de mon autoentreprise, c’est le moment idéal pour faire un bilan, non ? Je suis fière de dire qu’actuellement, je travaille sur mon quatre-vingt-dix-septième manuscrit (moi qui aime les nombres ronds, me voilà bien frustrée, j’aurais voulu atteindre la centaine pour l’occasion) ! Romans, essais, magazines de santé, dossiers universitaires, recueils de poèmes… Je lis de tout, cette polyvalence me plaît énormément. J’ai eu la chance de collaborer avec sept maisons d’édition et des dizaines de particuliers, pour au total… plus de treize millions de caractères !
Je me retrouve vraiment dans cette activité, la passion est au rendez-vous, même si bien sûr, tout n’est pas tout rose.
J’aime cette liberté qu’offre l’autoentreprise, je décide pour moi-même et ne dépends que de moi-même. Le seul désavantage que je trouve aujourd’hui ? L’isolement professionnel. Eh oui, quand on travaille seul, justement, on est seul. C’est pour ça que j’exerce d’autres activités à côté, comme de l’aide aux devoirs et des cours particuliers pour des élèves d’école primaire et de collège.
Et pour la suite ? J’envisage de me former pour animer des ateliers d’écriture, et qui sait, un jour, écrire mon propre livre !
Alors maisons d’édition, particuliers, étudiants, contactez-moi, je serais heureuse de discuter de vos projets et de répondre à vos besoins en relecture et correction.
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